1. La conscience nous permet d’évoluer dans le monde, phénomène si naturel qu’il est rare de l’étudier.

2. L’attention nous permet d’agir, c’est notre outil premier, d’où vient cette énergie ? D’où vient ce flot d’attention ?

3. Nous cherchons à comprendre le monde, d’où vient cette recherche d’unité ?

4. Le vivant pulse du coeur à l’environnement, la conscience de soi au monde, qu’est-ce qui la fait palpiter ?

5. Vivre, pour quoi ? À quoi cela sert-il ? Quel sens cela a-t-il ? La soi-conscience s’interroge.

Ces 5 approches convergent vers la même source. Il s'agit donc de

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Résumé

Le monde est un au sein d’une multiplicité. Cette question de la cohésion se pose de manière aigue en sciences de l’information, à la fois en tant que description d’éléments, et comme construction d’un logiciel.

Des liens en suspens, introduits par Husserl, peuvent être modélisés par des spires. Un anneau de spires, qui est une unité composée, rend compte de l’assemblage des parties. Le mouvement et la négation conduisent à quatre mondes logiques et la genèse des nombres s'accompagne d'une genèse du trait.

Voici les 4 mondes logiques :
4 : le monde statique des données, résultats, faits, chiffres ;
3 : le monde systémique des interactions, jugements, actions, processus ;
2 : le monde des liens en suspens, ouverture au monde, exploration, perceptions,gestes ;
1 : le monde des pôles archétypes, dimensions, questions, valeurs.

Ainsi la cohésion en construction se modélise par un triple anneau de spires, correspondant à trois interfaces entre les mondes :
1) une interface avec des composants en interaction, ce qui construit la forme,
2) une interface limite de l’amortissement des spires, qui forme l’horizon,
3) une interface avec la pulsation au centre.

Ce triple anneau, provenant d'une tension triple, s'applique à une forme en trois degrés. Dans l’espace, la forme se trouve à des stades divers d’intégration de composants. Dans le temps, une pulsation s’opère des livrables au dessein du cycle. Au niveau réflexif, le lecteur s’intègre dans la tension et interroge sa raison d’être. 

Résumé

Toute appréciation de la qualité se fonde sur une impression première qui, ensuite, peut s'analyser et se formuler en mots. La prise en compte de cette impression rapproche du client, de ses préoccupations, connaissances et intentions; la qualité s'applique alors à toute stratégie, donc particulièrement bien au management.

Le passage à cette qualité intensionnelle est une avancée comparable au passage de la qualité produit à la qualité de service..

Cette impression qualitative, difficile à formuler, peut s’expliciter avec la couleur : celle-ci est précise, reproductible et d’accès immédiat. La couleur permet d’évaluer la qualité, seul ou collectivement, de comparer et d'indiquer des voies de progression.

La qualité a une base objective, mais son appréciation est toujours subjective. La reconnaissance du rôle du sujet permet de prendre en compte son métier, son point de vue et son intention. Le sujet se projette toujours dans l'acte de perception. Cette vue intensionnelle permet à chacun de s’associer à la qualité, ce qui permet de l‘intensifier, en termes de dynamisme, de cohérence et de créativité.

Cet ouvrage s’adresse donc à tout praticien de la qualité, non seulement aux experts, mais à tout manager, à tout collaborateur, à toute personne qui veut déployer la qualité en toute situation.

7 chapitres et le livre complet