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Toute perception de la qualité se fonde sur une impression première. Celle-ci peut s’exprimer par la couleur. La couleur est précise et reproductible, elle est calculable, on peut donc en faire des statistiques. La couleur est à base trois, ce qui ouvre de nouvelles dimensions pour décrire et développer la qualité. Pour décrire un flux, le noir et blanc suffisent : ils expriment la satisfaction des besoins du client. 1/ Ce qui suggère la définition suivante de la qualité : Propriété interne d’un système tel qu’il apparaît globalement à l’extérieur. L’invariant qualitatif au cœur du système peut alors se décrire par la couleur. Le logo d’une entreprise représente ainsi la qualité que les dirigeants souhaitent impulser dans celle-ci. 2/ On décrit la qualité par ses interactions, on peut la définir selon l’accord avec la raison d’être, c’est une approche orientée par les buts ou intentions, développée en Requirement Engineering, notamment à Paris 1. D’où la définition intensionnelle :
Cette définition élargit aussi le spectre de la qualité et s’illustre aussi en couleurs ; elle prend en compte la tension qui sous-tend l’unité d’action; cette vue est particulièrement utile lors de crises ou de refondation d'activité. |